Des commentaires de qualité qui permettent d'approfondir sa compréhension de l'Ecriture
Une version du texte biblique appréciée par beaucoup (Segond Nouvelle Édition de Genève 1979), à laquelle s'ajoutent, outre les références parallèles en marge, la concordance les nombreux commentaires (env. 16000) de John MacArthur, théologien réputé, pasteur et enseignant, quoi de mieux pour étudier la Bible? Pour trouver des informations historiques, des explications d'ordre théologique, des informations sur la formulation de l'original ou encore 150 tableaux récapitulatifs et cartes au fil du texte, plongez-vous dans cette Bible d'étude en français!
Points forts
+ des introductions approfondies
+ des plans détaillés
+ de nombreuses références parallèles
À propos de John MacArthur
Diplômé de la Faculté de Théologie de Talbot (USA), le Dr John MacArthur est pasteur principal de «l’Eglise de la Grâce» de Sun Valley (Californie). Conférencier
et professeur réputé, il anime un programme quotidien d’évangélisation diffusé sur plus de 1000 stations de radio en Amérique du Nord, en Europe, en Afrique et en Océanie. Il est l’auteur de plus de 70 ouvrages dont, aux éditions La Maison de la Bible, Spiritualité en crise et La bénédiction de Toronto.
À propos de la version NEG
La Nouvelle Édition de Genève paraît pour la première fois en 1975 avec les commentaires de C.I. Scofield. Un certain nombre de corrections supplémentaires débouchent sur la version devenue «classique» de 1979. Il aura fallu attendre 1979 pour enfin avoir une traduction mieux adaptée à la génération d’alors. La Société Biblique de Genève définit le résultat comme une traduction formelle, celle qui cherche à rester le plus près possible de l’original.
Quelles sont donc les améliorations et les remplacements qu’apporte la NEG? La Nouvelle Édition de Genève se limite à quelques 2000 retouches ou corrections par rapport au texte Segond 1910. Le changement le plus évident est probablement le remplacement des subjonctifs imparfaits et plus-que-parfaits, trop peu utilisé de nos jours, par des subjonctifs présents et passés. Mais alors, pourquoi opérer des changements? Ce n’est pas la doctrine chrétienne qui est mise en cause et transformée, c’est notre langage qui a évolué. Les mêmes mots n’ont plus la signification qu’ils avaient au début du siècle. Il s’agit d’exprimer la même vérité biblique dans le langage actuel, afin qu’elle soit bien comprise des lecteurs actuels.