Foi Chrétienne et Libéralisme

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GRESHAM MACHEN John
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Ce livre, publié en 1923, est une défense classique de la foi biblique. Il a été écrit comme une digue contre la déferlante du modernisme libéral théologique qui menaçait de submerger l’Église de Christ au début du vingtième siècle. Il présente avec une grande érudition l’importance de la doctrine et de l’orthodoxie bibliques sur les sujets fondamentaux de la foi – Dieu et l’homme, la Bible, Christ, le salut et l’Église.

Un siècle après sa publication, cette présentation de la doctrine chrétienne demeure tout aussi pertinente et utile qu’au premier jour, peut-être davantage. Pour l’auteur, le libéralisme est une religion dénuée d’un vrai Christ et donc sans aucune rédemption efficace pour l’homme pécheur.

Un siècle plus tard, le libéralisme a été ouvertement discrédité, mais il s’est glissé incognito dans les rouages des milieux religieux, jusque dans la mouvance évangélique. De nombreux aspects de la croyance et de la pratique actuelles dans les milieux évangéliques sont directement affectés par les idées contre lesquelles John Gresham Machen luttait.

En plus d’opposer l’erreur, l’auteur présente avec grande clarté quelle est la vérité biblique telle qu’elle est en Jésus-Christ.

À l’occasion du centenaire de la publication du livre, la revue Tabletalk, des ministères Ligonier, a publié une série d’articles qui expliquent au lecteur moderne divers aspects du livre de Gresham Machen. Ces articles sont reproduits ici avec l’aimable autorisation de Ligonier.

« On a souvent dit que le plus important mot du titre est “et”. Machen, le professeur de théologie qui quitta Princeton pour fonder Westminster, affirme avec force que le libéralisme n’est pas une version de la foi chrétienne, mais une religion entièrement différente. »
— Kevin DeYoung

À propos de l'auteur

John Gresham Machen (1881–1937) – Il enseigna au prestigieux séminaire théologique de Princeton jusqu’à ce qu’il soit forcé de démissionner par les idées libérales. Il fonda alors le séminaire théologique de Westminster, à Philadelphie. Il fut aussi à l’origine de la fondation de l’Église presbytérienne orthodoxe et de la création du Bureau indépendant presbytérien des missions étrangères.

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