Mais je te bénirai

Henriette Chevaux est une fleur rare de nos montagnes suisses. Surgie d'un terrain ingrat, comme suspendue au-dessus d'un précipice, elle s'est épanouie au soleil de la grâce divine, exhalant un parfum qui a réjoui et étonné tous ceux qui l'ont approchée. Qui dira jusqu'où cette bonne odeur se répandra, au-delà du lit de souffrance où cette grande invalide passa plus d'un demi-siècle?

Le témoignage évoqué dans ce livre d'une femme toute simple de chez nous, mais instruite d'En-haut et qui connut un brisement toujours plus total, peut aussi apporter à beaucoup bénédiction et révélation nouvelle. Il oblige en tout cas à une réflexion sur le sens et le but de la vie et ne saurait laisser personne indifférent.

Livre d'occasion - 90 pages

Mais je te bénirai

€3,90
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Henriette Chevaux est une fleur rare de nos montagnes suisses. Surgie d'un terrain ingrat, comme suspendue au-dessus d'un précipice, elle s'est épanouie au soleil de la grâce divine, exhalant un parfum qui a réjoui et étonné tous ceux qui l'ont approchée. Qui dira jusqu'où cette bonne odeur se répandra, au-delà du lit de souffrance où cette grande invalide passa plus d'un demi-siècle?

Le témoignage évoqué dans ce livre d'une femme toute simple de chez nous, mais instruite d'En-haut et qui connut un brisement toujours plus total, peut aussi apporter à beaucoup bénédiction et révélation nouvelle. Il oblige en tout cas à une réflexion sur le sens et le but de la vie et ne saurait laisser personne indifférent.

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C
Claire Eggen

Mais je te bénirai

M
Mireille Boudin
une autre Marthe Robin

j'ai découvert ce livre chez une dame protestante qui nous a offert un hébergement en bord de mer pour pouvoir voir nos petits enfants. c'est un livre à lire. cette femme a souffert des années durant et a offert toutes ses souffrances au Seigneur et Dieu sait qu'elle en avait. voici une petite phrase du livre page 63 une fois j'avais tellement mal ...je pleurais...(elle voir alors comme une image du Christ crucifié) le Saint-Esprit lui parle alors...elle serre très fort les pieds de Jésus...et elle écrit : "j'ai compris....que je ne devais pas penser à mes douleurs mais à celles du Seigneur. Quand on pense aux siennes, les nôtres pâlissent. Mes souffrances ne sont rien en comparaison de ce que Lui a souffert"plus loin "Le Fils de Dieu a ...connu la paralysie" immobilisé par des clous au bois d'infamie. Christ, homme de douleur, familier de la souffrance, fait route avec les siens dans toutes les tragédies de la vie.

G
Geneviève Roussin
Vie de prière

Récit d’une vie de prière vraiment inspirante!

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