Un homme, deux vies

Lorsque Roger Arnett lut Prends mes mains, qui raconte l'histoire d'une femme médecin indienne, paraplégique comme lui, il ressentit une grande affinité avec cette chrétienne d'une autre race et d'une autre culture que lui, dont l'expérience et les tentatives ressemblaient tellement aux siennes. Il écrivit à l'auteur du livre pour lui demander l'adresse du Dr Mary Verghese. "A vous lire, on dirait que vous avez vous aussi un récit intéressant à faire", lui répondit Mme D.C. Wilson. "S'il y a une histoire à raconter, écrivit-il en retour, c'est ma femme La Verna qui la connaît. C'est elle qui a montré le courage, la patience, le dévouement assidu qui ont rendu tout le reste possible."

Ce n'est pas tout à fait ce qu'en pense l'auteur. Il lui fut très difficile d'arriver à convaincre Roger d'accepter que l'on écrive son histoire. Il n'accepta que lorsqu'il eut acquis la conviction qu'un tel récit pourrait peut-être encourager d'autres paralysés comme lui, et inciterait peut-être aussi d'autres personnes à se préoccuper du ministère particulier auprès des malades et des isolés qui était devenu l'objectif essentiel de sa vie.

-Livre d'occasion 370 pages

€7,90
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Lorsque Roger Arnett lut Prends mes mains, qui raconte l'histoire d'une femme médecin indienne, paraplégique comme lui, il ressentit une grande affinité avec cette chrétienne d'une autre race et d'une autre culture que lui, dont l'expérience et les tentatives ressemblaient tellement aux siennes. Il écrivit à l'auteur du livre pour lui demander l'adresse du Dr Mary Verghese. "A vous lire, on dirait que vous avez vous aussi un récit intéressant à faire", lui répondit Mme D.C. Wilson. "S'il y a une histoire à raconter, écrivit-il en retour, c'est ma femme La Verna qui la connaît. C'est elle qui a montré le courage, la patience, le dévouement assidu qui ont rendu tout le reste possible."

Ce n'est pas tout à fait ce qu'en pense l'auteur. Il lui fut très difficile d'arriver à convaincre Roger d'accepter que l'on écrive son histoire. Il n'accepta que lorsqu'il eut acquis la conviction qu'un tel récit pourrait peut-être encourager d'autres paralysés comme lui, et inciterait peut-être aussi d'autres personnes à se préoccuper du ministère particulier auprès des malades et des isolés qui était devenu l'objectif essentiel de sa vie.

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