Dans cette œuvre, Flavel médite sur les mots de Luc 7.13 : « Le Seigneur, l’ayant vue, fut ému de compassion pour elle, et lui dit : Ne pleure pas ! »
En s’appuyant sur ce verset, Flavel aide les lecteurs à réfléchir à la tristesse raisonnable et déraisonnable. Il explique ce qui est permis et approprié pour les chrétiens ainsi que ce qui ne l’est pas.
Il inclut même une section où il conseille les non-chrétiens en deuil. La majorité de l’œuvre vise cependant à procurer du réconfort aux personnes pieuses qui traversent le deuil.