Les écrits d’Oswald Chambers disponibles dans la langue de Molière et dont la renommée n’est plus à faire ( Tout pour qu’Il règne ou l’amour de Dieu par exemple ) en disent déjà assez long sur la profondeur spirituelle propre à cet auteur. Fruit du ministère fécond de Charles Spurgeon, il en fût un digne héritier, maniant une plume habile et distillant à chaque phrase un amour profond pour les Écritures évident. Quand un auteur de l’envergure d’Oswald Chambers s’empare d’un passage aussi riche et fondamental que le dit « Sermon sur la montagne » cela ne peut que culminer par une édification assurée de la foi du croyant véritable.